La ville commence pour ainsi dire quand on ne la voit plus, quand on est dedans, déjà baratté dans son mouvement[1]
Brunch et chambre d’écoute #18 : Cologne ville d’art/De Stockhausen à Kompakt (série Territoires imaginaires) au Tartisan le dimanche 21 février 2010 à midi
Une pause dans la vie active, une escapade dans l’histoire musicale de ma ville préférée : voici ce que je vous propose pour cette nouvelle chambre d’écoute.
Le Tartisan nous reçoit dans ses meubles, le temps d’un petit brunch (Marc est aux fourneaux) et d’une chambre d’écoute (Axel est aux platines).
Le dimanche, entre lessives qui tournent et désoeuvrements réparateurs, nous n’avons pas toujours d’occupation ; alors, comme en Allemagne, laissez vous tenter par un petit frühstuck (littéralement la pièce-tôt).
Le petit-déjeuner copieux est une véritable tradition dès qu’on dépasse Aix-La-Chapelle. Pour l’avoir expérimenté de nombreuses fois dans les belles adresses de Cologne, l’envie nous taraudait de le proposer ici à Bruxelles.
Au niveau sonore, nos recherches iront du côté du riche patrimoine de Cologne. Cette ville est en effet la capitale historique de la musique électronique (c’est là, dans les légendaires studios de WDR que Karlheinz Stockhausent –RIP- concoctait les premières expérimentations électroniques).
Voici le programme :
12h : ouverture des portes et petit café
12h15 : buffet-brunch
13h30 : chambre d’écoute sur Cologne, ville d’art
La participation est fixée à 12 euros et comprend le brunch, la TECC (Taxe pour l’écoute collective contextuelle) et les quinze premiers inscrits recevront le CD de la sélection.
Comment s’engager ?
En versant 12 € sur le compte 063-1645113-28 avec votre nom et la mention Cologne. Le nombre de places est limité à 30 personnes. Merci de vous signaler avant le 17 février.
Adresse : Le Tartisan, 186 chée de Vleurgat à 1050 Bruxelles
Mon nouveau gsm : 0478/134.064
Facebook : je l’ai crée mais le contrôle m’échappe…
Blog : lui au moins, je peux compter dessus : www.grandensemble.blogspot.com
[1] J’emprunte cette belle citation à Jean-Christophe Bailly, dans son livre La ville à l’œuvre aux éditions de l’Imprimeur.


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